Glenn 3948 (2010) ( Glenn, the Flying Robot ) ( Glenn Three Nine Four Eight )

Glenn 3948 (2010) (Blu-Ray) (*)

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Titre Original: Glenn, the Flying Robot
Titre Alternatif: Glenn Three Nine Four Eight
Langues at Sour-titres:
Anglais ( Dolby Digital 5.1 )
Anglais ( Dolby DTS-HD Master Audio )
Allemand ( Dolby Digital 5.1 )
Allemand ( Dolby DTS-HD Master Audio )

Product Origine/Format:
Germany ( Blu-Ray/Region A/B/C )

Durée:
83 min

Allongement:
Widescreen (2.35:1)

Suppléments:
Menu Interactif
Fabrication De
Accès De Scène
Trailer(s)

Film filmé et produit dedans:
Belgique ( France, Benelux )

Un Film De:
Marc Goldstein

Écrit Près:
Marc Goldstein

Acteurs:
Billy Boyd ..... Jack
Dominic Gould ..... Henry
Patrick Bauchau ..... Richard
Gerard Depardieu ..... TV reporter
Smadi Wolfman ..... Lana
Geoffrey Carey ..... Barre
Vincent Eaton ..... Georges
Malinda Coleman ..... Présidente du jury
Nathan Kemp ..... Jury 1
David Lopes ..... Jury 2
Kurt Kelly

Synopsis:

Premier long-métrage du cinéaste belge Marc Goldstein, Glenn 3948 est une oeuvre se situant au croisement de plusieurs genres ; anticipation, thriller, drame, love-story, le film part dans des directions diamétralement opposées tout en maintenant une unité de lieu unique - que l'on va tout de même quitter de manière très éphémère à l'occasion de quelques petits flashbacks nécessaires à l'avancée de l'histoire - aboutissant à un résultat aussi hybride qu'indéniablement original. Présenté au vingt-huitième Festival du Film Fantastique de Bruxelles, Glenn 3948 n'avait, à l'époque de sa projection, pas encore trouvé de distributeur ; un mois plus tard, le film avait été acheté, ses diverses diffusions ayant réussi à suffisamment convaincre pour lui offrir une carrière internationale. Et si l'on n'est clairement pas là en présence d'un chef d'oeuvre du septième art, reconnaissons tout de même que sa capacité à sortir des conventions inhérentes au genre lui offre un capital sympathie indéniable. Ainsi, tout ne tourne pas rond dans Glenn 3948, le film souffrant d'une accumulation de défauts plus ou moins génant, mais nuisant globalement à sa qualité générale. Le plus visible - et paradoxalement le moins important finalement - étant son côté très cheap, les ambitions du films étant très clairement trop gourmandes au regard du faible budget qui lui était alloué. Les CGI utilisés pour la modélisation des robots, bien que formellement très corrects, sont relativement mal inscrustés dans les images, donnant malheureusement au film un petit côté téléfilm assez dommageable. Formellement, Glenn 3948 souffre d'ailleurs de cet aspect télévisé qui marque chacune de ses images et amène souvent à penser que sa diffusion n'aurait pas forcément dû se faire dans une salle de cinéma. Fort heureusement, les choses sont bien plus qualitatives sur le fond, élevant tout de même le film à un niveau qualitatif plus élevé que celui d'une production télé lambda.

Cet article a été ajouté le mercredi 22 juin, 2011.