Ghostwatch ( Ghost watch )

Ghostwatch (DVD) (*)

$22.99

Titre Original: Ghost watch
Langues at Sour-titres:
Anglais ( Dolby Digital Stereo )

Product Origine/Format:
United Kingdom ( PAL/Region 0 )

Durée:
91 min

Allongement:
Fullscreen

Suppléments:
Menu Interactif
Accès De Scène

Film filmé et produit dedans:
Royaume-Uni ( Grande-Bretagne, l'Irlande )

Un Film De:
Lesley Manning

Écrit Près:
Stephen Volk

Acteurs:
Michael Parkinson ..... Himself - Presenter
Sarah Greene ..... Herself - Reporter
Mike Smith ..... Himself - Phone-in Presenter
Craig Charles ..... Himself - Interviewer
Gillian Bevan ..... Dr Lin Pascoe
Brid Brennan ..... Pamela Early
Michelle Wesson ..... Suzanne Early
Cherise Wesson ..... Kim Early
Chris Miller ..... Cameraman
Mike Aiton ..... Sound Recordist
Mark Lewis ..... Alan Demescu
Linda Broughton ..... Yvonne Etherly
Katherine Stark ..... Wendy Stott
Derek Smee ..... Arthur Lacey
Roger Tebb ..... Local TV Presenter

Synopsis:

Pour Halloween 1992, la BBC décide d’organiser une émission spéciale en direct dans une maison hantée. Une équipe de la BBC est donc envoyée sur place dans une famille où une mère et ses deux jeunes filles, disent être témoins d’événements étranges. D’abord très sceptique, l’équipe commence à être témoin d’étranges événements. Pendant ce temps, sur le plateau de l’émission, on essaie tant bien que mal de comprendre ce qu’il se passe, alors que défilent les spécialistes en paranormal. « Ghostwatch » est souvent comparé l’adaptation radio de « la Guerre des Mondes » par Orson Welles en 1936. L’émission simulait un une invasion extra-terrestre en direct, tellement réaliste, qu’elle a créé un mouvement de panique dans toute l’Amérique. « Ghostwatch » pour sa part utilisait aussi la technique d’un faux direct. L’émission-fiction commence avec le minimum de crédits et est présentée par de vrais présentateurs populaires bien connus du public britannique. Comme dans la « Guerre des mondes », les problèmes techniques (pannes d’une caméra, tremblements, flou,…) sont utilisés pour renforcer le réalisme. Au début très décontractée, l’ambiance commence lentement à s’alourdir, au fil des petits incidents. On ne voit quasiment rien et cette absence d’image concrète renforce l’inquiétude.

Cet article a été ajouté le dimanche 30 octobre, 2011.