English Français Español Deutsch

Best blackjack games is here.

  Accueil » Catalogue S'identifier |  Mon panier  |  Commander | 

Best online pokies at https://aucasinosonline.com/pokies/

Search DaaVeeDee:
box
 
DescriptionNarrow




Recherche Avancée
box
Categories
box


Arthouse
Films Classiques
Films-Culte
Films Érotiques
Euro-Westerns
Gamins et Famille
Thèmes Juifs
Documentaires
Mini-série
D'Autres Grands Films

USA, Canada 
Amérique latine, Mexique 
France, Benelux 
Allemagne, Europe Centrale 
Russie, Europe de l'Est 
Espagne, Portugal 
Italie, Grèce 
Inde, Asie de L'est 
Afrique, Moyen-Orient 
Australie, Nouvelle-Zélande 
Grande-Bretagne, l'Irlande 
Scandinavie, Islande 

Voir tous les articles

Blu-Ray

Nouveautés
Sorties pévues
box
Panier plus
box
0 produits
box
S'identifier
box
Votre Adresse Email
Votre Mot de Passe
box
Information
box
Nos Politiques
Information D'Expédition
Politique D'Intimité
Retours
Enquêtes
Write a Review and Save!
Nous contacter
box
The Orheim Company (DVD) (*)
box_bg_l.gif.
$27.99 $21.97

Titre Original: Kompani Orheim
Examiné, concurrencé ou attribué à:
D'Autres Récompenses De Festival De Film


Langues at Sour-titres:
Anglais ( Subtitles )
Norvégien ( Dolby Digital 5.1 )
Norvégien ( Dolby Surround )
Norvégien ( Subtitles )


Product Origine/Format:
Norway ( PAL/Region 2 )

Durée:
104 min

Allongement:
Widescreen (1.85:1)

Suppléments:
Anamorphic Widescreen
FonteServez d' équipier Interview(s)
Commentaire
Scènes Supprimées
Menu Interactif
Accès De Scène
Trailer(s)


Film filmé et produit dedans:
Norvège ( Scandinavie, Islande )


Un Film De:
Arild Andresen


Écrit Près:
Lars Gudmestad
Tore Renberg


Acteurs:
Glenn André Viste Bøe ..... Helge Ombo
Andreas Cappelen ..... SOS-rasismeaktivister
Frank Dåbu ..... Jarle Orheim
Vebjørn Enger ..... Irene
Eili Harboe ..... Terje Orheim
Kristoffer Joner ..... Leffi
Malvin Kvam ..... Sara Orheim
Rolf Kristian Larsen ..... Ragnhild
Henrik Mestad ..... Nina
Cecilie A. Mosli ..... Cable car conductor
Tone Beate Mostraum ..... Else Klepp
Reno Muren
Øistein Saugerud
Gretelill Tangen


Synopsis:
Dans le premier, nous suivons le jeune Jarle Klepp en Norvège. Là, malgré le foisonnement culturel et la popularité des groupes rocks importés d'Angleterre, les années traversées par l'adolescent posent clairement un problème de rattachement identitaire. C'est que, comme le réalisateur ne manque pas de le souligner, les années 1980 en Norvège souffrent de ne pas être à la hauteur des révolutions sociale, culturelle et politique de la décennie précédente. Nous sommes bien après 1968 et la société norvégienne qui voit grandir Jarle semble s'être depuis endormie. De son école fréquentée par la petite bourgeoisie de banlieue jusqu'au coeur du foyer familial, tout paraît ankylosé. Le best-seller, roman autobiographique signé Tore Renberg dont le film est inspiré, insistait déjà sur ce point. Arild Andresen en fait une caractéristique majeure. D'autant plus que le père de Jarle, né quelques années avant la Seconde Guerre mondiale et qui atteint la quarantaine au moment du film, nourrit une passion obsessive pour les actes de la résistance norvégienne - son propre père aurait lui-même participé à plusieurs sabotages contre les nazis. Dans les quelques moments partagés ensemble, Jarle fait donc systématiquement face au rejet d'un père hostile aux intérêts contemporains, en particulier musicaux, de son jeune fils qui, à la veille du Live Aid Concert rassemblant les chanteurs les plus en vogue du moment (David Bowie, The Cure), bouillonne d'admiration pour ces icônes. C'est que le père de Jarle est surtout un alcoolique notoire dont la situation se détériore sensiblement jour après jour. Versatile, il passe des heures entières plongé dans le fauteuil du salon familial, les yeux cernés et bouteille en main, pour se réveiller le lendemain après avoir battu sa femme et reprendre un discours passéiste et réactionnaire frisant l'extrémismedans ses moments de sobriété. Ce qui est très fort dans The Orheim Company, ce n'est pas justement ce jeu d'alternance entre les deux états, système n'ayant en soi rien d'insolite - d'autant plus que nous savons l'homme condamné -, mais bien les tentatives de sauvetage de son fils impuissant face à un tel niveau de dégradation. Jarle se laisse entraîner dans les sempiternels récits de résistance norvégienne, en auditeur passif et désemparé, aux côtés de sa mère, soumise et impuissante. Certes le parallélisme entre les exemples de résistance chéris par le père et l'essence même de sa condition vouée à l'échec est facile, n'ouvrant que bien peu de perspectives originales. Mais The Orheim Company cherche principalement à illustrer la place occupée par les témoins et premières victimes de cette descente aux enfers. Le film atteint le paroxysme de ce système lorsque l'alcoolique, dans une ultime tentative de se relever, organise une interminable randonnée familiale sur les traces des saboteurs de la résistance. De cette aventure, il ne restera quelques années plus tard qu'une photo de la famille, montrant Jarle et sa mère, hagards, épuisés par l'acharnement d'un homme quelque part conscient de sa lutte contre l'impossible. La forme très narrative de The Orheim Company demeure cependant un handicap, malgré la construction du film en flashback, faisant regretter l'absence de séquences plus abstraites qui auraient pu rehausser les morceaux de Phil Collins ou Paul McCartney, et leur faire dépasser le simple statut de trame sonore. Comme figure d'exemple en la matière, il faudra aller voir du côté de l'excellent Sons of Norway, heureux récipiendaire du Prix FIPRESCI cette année à Göteborg, et qui a bien des points en commun avec le film de Arild Andresen.
Cet article a été ajouté le mercredi 19 septembre, 2012.
box_bg_r.gif.
Les clients ayant acheté cet article ont également acheté:
box
box

Copyright © 2005-2013 DaaVeeDee LLC
Powered by Oscommerce Supercharged by CRE Loaded Team
Using Version CRE Loaded PCI CE v6.4